Plus haut les restes d'une croix, de la seconde guerre mondiale
Plongé dans un cadre à un ciel, d'une mer occidentale
On s'y allonge le jour, et on y songe la nuit
Sans là voir passer, l'heure défie ce que l'on poursuit, une ombre fine nous éblouie
Tant de sensations, tant de sentiments
On oublie souvent ce que l'on ressent
Pour pas s'accrocher à la dépendance
Il faut s'éloigner de l'existence
Une atmosphère printanière
Un soleil estival
Une tempête sur le calvaire
Une sombre aube glaciale
Triste pluie sous froid polaire
Crépuscule hivernal
On perd la raison
Sous un orage de saison
Tout ces moments ne sont rien et bien pourtant ils sont tout
Que restera t-il des lendemains, qu'un funèbre cliché flou
Une poussière dans l'univers, un décor artificiel
Mille lumières passent au travers, dans ces suites dimensionnelles où se retrouvent nos repères
Des êtres, des astres, qui sommes-nous
Dans ce monde, ce monde de fou
Pourquoi tant de différences
Pourquoi tant d'indifférences
Où sommes-nous exactement
et pourquoi la croyance
La création, les évènements
On se bouscule dans l'errance
En croyant avoir une chance
On se bouscule dans l'errance
Tant de sensations, tant de sentiments
On oublie souvent ce que l'on ressent
Pour pas s'accrocher à la dépendance
Il faut s'éloigner de l'existence
Une atmosphère printanière
Un soleil estival
Une tempête sur le calvaire
Une sombre aube glaciale
Triste pluie sous froid polaire
Crépuscule hivernal
On perd la raison
Sous un orage de saison
Toutes ces années acharnées
Force et courage sont alliés
Toutes nos forces et nos faiblesses
On évolue et on régresse
Une lumière de pure essence
Notre passé que l'on relance
Paradoxe des univers
En une myriade de poussière